Tlemcen, la perle du moyen maghreb

les personnalitées de Tlemcen et d'Algérie



mohamed Dib
mohamed Dib : Cette grande figure de la littérature algérienne est né en 1920 à Tlemcen. Il fut instituteur en 1940 à Zoudj-Beghal et en 1959, il s'installe en France. Il est l'auteur des célèbres romans La Grande maison et l'Incendie qui fut adapté au cinéma algérien. Il s'éteint le 2 mai 2003.

Messali Hadj
Messali Hadj : Né en 1898 à Tlemcen, il fut très tôt intéressé par la politique. Militant nationaliste pour l'Algérie indépendante, il fonda le Parti du peuple algérien (PPA) en 1936. En 1947, il fonda le Mouvement pour le triomphe des libertés démocratiques (MLTD), Messali Hadj (1898-1974) est le premier à formuler la revendication de l'indépendance de l'Algérie. C'est à lui que l'on doit le drapeau algérien.

Ibn Khaldoun
Ibn Khaldoun : Ibn Khaldoun, de son vrai nom Abou Zeid Abd er-Rahman ÚÈÏ ÇáÑÍãä Èä ãÍãÏ Èä ÎáÏæä ÇáÍÖÑãí (né à Tunis 27 mai 1332, mort au caire 19 mars 1406) est issu d'une famille de notables originaires d'Andalousie. Cet illustre historien et philosophe d'Afrique du Nord se considérant lui-même comme Arabe, et se réclamait d'une lignée remontant à l'Hadramout, en la 10e année de l'Hégire. Ibn Khaldoun est à la fois l'historien et un sociologue avant la lettre des sociétés arabe, berbère et perse. Ibn Khaldoun est descendant d'une famille arabe yéménite établie en Andalousie dès le VIIIe siècle, puis émigrée à Tunis. Il passe une partie de son existence à la cour mérinide, remplissant diverses fonctions politiques auprès des sultans de Tunis et de Fès, (ce dernier ayant pour Premier ministre l'écrivain Ibn al-Khatib, avec lequel Ibn Khaldoun entretiendra longtemps des relations de rivalité amicale), puis du souverain de Grenade. Ibn Khaldoun a eu un impact mesuré sur la culture et la pensée arabe. Il a introduit la notion d'histoire cyclique fondée sur des facteurs profanes générés par l'affaiblissement naturel des générations sédentarisées, héritières des conquérants nomades, mais que la richesse et le mode de vie urbain entraînent dans un cycle inexorable de décadence

mohamed moulshoul un ancien  cadet a l'école  du Mechouar
mohamed moulshoul un ancien cadet a l'école du Mechouar : Yasmina Khadra, révèle dans un entretien au Monde des Livres que sous cette identité féminine se cache un homme. Dans L'écrivain, paru en 2001, le mystère est entièrement dissipé. Yasmina Khadra s'appelle de son vrai nom Mohamed Moulessehoul, qui a déjà publié sous ce nom nouvelles et romans en Algérie. Officier dans l'armée algérienne, il a participé à la guerre contre le terrorisme. Il a quitté l'institution en 2000, avec le grade de commandant, pour se consacrer à sa vocation: écrire. Il choisit de le faire en français. Morituri le révèle au grand public. Aujourd'hui écrivain internationalement connu, Yasmina Khadra est traduit en 14 langues. Les indications suivantes nous ont été fournies par Yasmina Khadra. Nous les transcrivons telles quelles. 10 janvier 1955 : naissance à Kenadsa (Sahara algérien) d'un père infirmier et d'une mère nomade. 1956 : mon père rejoint les rangs de l'ALN. Blessé en 1958. Devient officier de l'ALN en 1959 Septembre 1964 : j'avais neuf ans, mon père me confie à une école militaire (Ecole Nationale des Cadets de la Révolution, pour faire de moi un officier 1973 : je termine mon premier recueil de nouvelles "Houria" qui paraîtra onze ans plus tard Septembre 1975 : je pars à l'Académie Militaire Inter-armes de Cherchell, que je quitte en 1978 avec le grade de sous-lieutenant. Je rejoins les unités de combat sur le front ouest Septembre 2000 : près trente six ans de vie militaire, je quitte l'Armée pour me consacrer à la littérature (Je pars à la retraite avec le grade de commandant). En 2001, après un court séjour au Mexique, avec ma femme et mes trois enfants, je viens m'installer en France, à Aix-en-Provence, où je réside encore -Alias ma femme Le pseudonyme de Yasmina Khadra est composé des deux prénoms de sa femme. L'auteur a voulu témoigner à celle-ci et aux femmes algériennes toute son admiration et son amour. Le choix d'une langue Yasmina Khadra a choisi d'écrire en français et non en arabe, parce que "son professeur d'arabe l'a bafoué, son professeur de français encouragé", dit-il en plaisantant. C'est en réalité pour des raisons de rupture avec son passé militaire. Ses trois films préférés 'La Bataille d’Alger', 'La Strada' de Fellini et 'Apocalypse Now' de Coppola Pendant des années, Yasmina Khadra a publié des livres qui ont connu un succès mondial ; derrière ce pseudonyme, se cache un officier supérieur de l'armée algérienne, Mohammed Moulessehoul, qui décide un jour de prendre sa retraite et de se consacrer entièrement à l'écriture.Né d'un père infirmier et d'une mère nomade, il est confié à une institution militaire à l'âge de neuf ans, d'où il sort sous-lieutenant. Après trente-six ans de sa vie passée dans les rangs de l'armée algérienne, il la quitte en août 2000, s'envole vers le Mexique avec sa femme et ses trois enfants en septembre, et arrive en France en janvier 2001. C'est à cette date qu'il publie 'L'écrivain' et qu'il révèle son identité à la presse et au public. Parmi ses ouvrages, on peut citer 'Morituri', 'L'automne des chimères', ' A quoi rêvent les loups' ou 'Cousine K', où se déploie le 'style Khadra' alliant lyrisme, métaphores inattendues, dépouillement et poésie

syphaxe
syphaxe : le roi de siga, rechgoune actullement, vous pouvez voir ce site sur la coline de la plage rechgoune

bthlémosse
bthlémosse : le roi de numédia en Algérie